Vous est-il déjà arrivé d'être stoppé net dans l'élan de vos projets par peur du jugement? Qu'est-ce qui fait que vous passez à l'action sur la pointe des pieds? Que vous restez figé au fond de votre siège en vous sentant souvent incapable de bouger ou d'agir? En quelles circonstances foncez-vous débordant de confiance en vous pour réussir?
La peur du jugement extérieur est un frein terrible car elle influence nos actions et fait en sorte que nous nous sentons, par moment, archi nuls, pas encore suffisamment experts ou carrément imposteurs pour atteindre nos objectifs, développer nos projets ou donner des conseils aux clients qui nous rémunèrent pourtant souvent très bien pour cela. Ceci pourrait être la météo de certains jours. Pour d'autres ça roule, leur météo a l'air plus qu'au beau fixe, ciel dégagé, visibilité en plein sur la route du succès. Pourtant ils doutent toujours mais avancent du mieux qu'ils peuvent. Parfois la peur au ventre aussi. Ils font cependant confiance à leur intuition et y sont bien connectés.
Déjà certains sont freinés car ils ne savent pas quoi faire ni comment faire. Si vous vous retrouvez dans cette catégorie, sachez que vous n'êtes pas seul dans le cas. Beaucoup le sont mais n'osent ni le dire ni demander. Pour remédier à cela, faites fi de la peur du jugement, demandez à un expert ou à une personne qualifiée, et j'insiste sur le mot qualifié, de l'aide ou de la guidance à quelqu'un qui vous apportera une vraie valeur professionnelle et ajoutée dans votre projet. Demandez-lui qu'elle vous montre comment faire et modélisez cela.
Sylviane fait de la prospection téléphonique pour un revendeur de salon en cuir. Sur 20 appels, elle obtient 4 rendez-vous clients en magasin. Rien ne lui assure qu'elle vendra un salon à l'un de ces 4 prospects. Elle a déjà peur de la réaction de son chef qui a la "gueulante facile". Après avoir stressé comme une dingue par manque de résultat, elle décide de s'adresser à Marc, le meilleur vendeur de la boîte, qui en plus est vraiment super sympa, pour qu'il lui montre comment améliorer ses scores. Sylviane est motivée et concentrée. Elle modélise les techniques de Marc et ses ventes augmentent.
Vous aimez le travail bien fait, très bien fait, trrrrèèèèèèèèssss trèèèèèèèsss bien fait et d'ailleurs vous êtes connu pour cela... Il y a toujours un détail à fignoler, une relecture à faire, un synonyme à changer, une ponctuation à améliorer... Voilà l'échappatoire pour ne pas délivrer et procrastiner, pour repousser les délais, pour se trouver des justifications: "c'est de la faute de Janine ou de Gilbert, je dois tout faire moi-même, ça prendra moins de temps si je m'en charge au lieu de l'expliquer à Luna, mais comme je suis déjà débordé et blablabla et blablabla..." La grande information qui n'est pas neuve: à force de tout faire tout seul vous vous épuisez aussi. Si vous êtes un vrai abatteur de boulot, vous entrez sur la voie royale, à terme sans doute, du burn-out...
Clarifions cela pour faire sauter les barrières. Qui sont ceux qui jugent? Sont-ils qualifiés pour "juger" ou pour donner leur opinion concernant vos affaires? Leur avez-vous demandé leur avis? Je parie que NON! Mais pourtant ils ne se gênent pas pour vous le donner. Où est la limite? On a tous dans nos familles des spécimens qui se permettent de juger en particulier sur des sujets ou des décisions pour lesquels ils n'ont pas été consultés à cause de leur ignorance, de leur bêtise ou parce qu'ils ne sont pas concernés par la question. Ceux-là même déploient tellement d'énergie pour se mêler de vos affaires, qu'ils en oublient de "balayer devant leur porte" et d'accomplir en priorité des choses intéressantes dans leur propre vie. Enfin, leurs avis, leurs perceptions leurs appartiennent. Ce qu'ils pensent n'est en rien sous votre contrôle.
Si vous procrastinez pour délivrer, il ne se passe rien et si vous ne délivrez pas, au fond de vous-même, n'auriez-vous pas un peu peur de votre propre jugement aussi. C'est légitime. A cause de la peur du jugement de soi, il n'y a pas ou peu d'action. Si il n'y a pas d'action, il n'y a pas de résultat. Et donc pas d'échec non plus. Vous n'avez donc ni réussi ni raté.
De quoi aimez-vous vous plaindre? Quel est le bénéfice de rester dans cette situation de non réussite et de non échec? Vous me direz qu'il n'y en a aucun. Pourtant, il y en a bien un. Celui de jouer à la victime:
Tout cela est souvent inconscient et nous trouvons tous un "avantage " à rester dans une situation X ou Y, jusqu'au jour ou le grand réveil se manifeste de façon tonitruante car la coupe déborde. Alors enfin nous passons à l'action. Je vous souhaite de prendre le temps de réfléchir à tout cela, sans peur du jugement. A vous demander à qui êtes-vous loyal de vous saboter de la sorte. Et si vous avez besoin d'éclairage, parlez-en à une personne neutre et qualifiée qui n'est ni votre mère ni votre soeur ni votre meilleur ami... Votre transformation n’est pas le but du parcours, elle est en une résultante. Le changement vient uniquement de l’action.
A bientôt,
Manoelle van der Straten
Vous manquez de clarté. Vous partez dans tous les sens. Vous gaspillez votre énergie bien trop vite. Découragements, doutes et peurs sont trop présents.
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